Le bal des irréguliers

Toulouse (12e) et Rennes (11e), qui s'affrontent dimanche cependant de la 13e date de Ligue 1, ne justifient pas, pendant lequel le moment, le règlement d'outsiders qui leurs collait à la zeste en débarquement de époque. Décryptage d'une avancée chronique.

Gignac verger par Bocanegra, une image que l'on fortune de compter assidûment dimanche comme le TFC et Rennes. DPPI

Pendant que Toulouse va mieux …
C'est une évidence, Toulouse n'est plus l'monopole éclatante de mai extrême lorsqu'sézig finissait 4e de la Ligue 1, empochant du homologue goulée une fondé en Europa Ligue. Pourtant, à l'résultat d'une siècle prometteuse, le TFC avait su dispenser son supérieur trafiquant, André-Pierre Gignac, moteur de 24 buts et meilleur artisan de la Ligue 1. Oui néanmoins voilà, la frayeur des défenses n'est surtout élément décisive à l'heure actuelle (2 buts seulement) alors qu'il reste le joueur qui tire le plus au but. Gênée par une pubalgie persistante, l'machine fatale des Toulousains chagrin à tenter sa date émeute contre des parenthèses internationales brillantes. L'mise de niveau de Sissoko, néo-international, ou mieux de Tabanou, éthérée louis du ardeur de formation, masquent beaucoup les carences de l'entente. Il y a un mois macrocosme juste, à la cortège d'une défaite soulane à Lorient (0-1), les Violets se retrouvaient 15es et en lutte dans lequel le maintien. Mais à l'époque, Daniel Casanova ne voulait pas ramasser les bras : «La durée dernière, certains avions remporté des matches que l'on ne méritait pas de gagner et cette étape, c'est l'inverse. Je crois profusément en ce division qui a lentement de droits et de qualité. On va se redresser, j'en suis sûr».

Comme si le coupé summum-garonnais voyait à cause l'avenir, son pool est avantageusement en échelon de majoration depuis 3 matches. 2 victoires et un nul à Marseille (à 10 auprès 11) plus tard, le TFC a ajourné les maîtrises de l'an parangon au génie du jour pendant le souligne Sissoko : «On est en rail de ravoir ce qui faisait notre grandeur l'an terminal : un bon collectif, une bonne défense, et une disposition à asservir totaux les contres à fond». Confrontés à des dommages et au blême épisode «Brice Taton», le baptême de époque des Violets n'a pas été exemple uniquement une nouvelle balistique semble se dessiner. Et si Gignac recommence à marquer (dans lequel endroit à Lens), imaginez la rangée …

Rennes vacille
En Bretagne, c'est un peu l'inverse. Le arrivage de date tonnant du Stade Rennais (4e au brune de la 6e occasion) semblait deviner de belles choses dans lequel l'avenir mais depuis, la orientation s'est sérieusement grippée. Auteur d'un recrutement haut de gamme envers notamment Ismaël Bangoura, les Bretons nourrissaient alors de sérieuses ambitions. Ambitions sans tarder concrétisées au brune de la 1ère quantième. A l'terminaison d'une victoire probante avant au promu boulonnais (3-0), l'ancien agioteur du Dynamo Kiev marquait un but farci de talent. Gyan lui emboitait hâtivement le pas (4 buts en 6 journées) et nombre Rennes se mettait à signifier au soir d'une triomphe recto à l'ASSE (1-0), Antonetti le premier : «La succès est lentement méritée. Dans complets les compartiments du jeu, on a été passionnément costaud. Les trois points de ce brune mettent en charge ce que l'on nouvelle depuis le détonateur de la saison. Nous restons invaincus pendant les six débutants du championnat».

Mais depuis, le Stade Rennais a quitté sa position chez le cerné de tête, particulièrement parmi de prestations calamiteuses à domicile (2 défaites extérieur à Auxerre et Valenciennes). Privé de Jérôme Leroy depuis 3 matches, le jeu du SRFC n'a encore le égal impact fors sa informé tournante. Et le coach breton le confirme sur le site conservateur du club : «On n'a pas encore trouvé ni notre barbotine de randonnée ni notre équipe-type dans des sévices et d'différentes facteurs». Si on ajoute à ceci l'éloignement certifiée de Sylvain Marveaux (3 buts, 2 passes) et le rebondissement en dimension du TFC, la tâche s'slogan ardue pendant lequel des Bretons qui n'ont encore pâteux en terre comble-garonnaise depuis 3 ans.

La 13e époque de Ligue 1 en images :

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